Le choeur roman de l'église haute Saint EUTROPE à SAINTES (17) Texte intégral de Charles CONNOUË Les
photos sur ce site peuvent être utilisées exclusivement
à des fins non commerciales
(seule la partie romane est traitée ici) Saint-Eutrope de Saintes est probablement l'édifice religieux le plus intéressant que possède la Saintonge. Par sa disposition, son ancienneté, par la diversité des styles qui s'y rencontrent et la pureté de son ornementation, enfin, par la richesse des (souvenirs historiques qu'elle évoque, cette église, véritable musée d'archéologie régional, compose un ensemble qui mérite beaucoup mieux qu'une visite hâtive. Elle doit être examinée dans chacun de ses détails, tous d'une grande valeur artistique et qui sont pour la plupart susceptibles de servir de bases a des études comparées.
Les moines de Cluny entreprirent alors de le relever de ses ruines et commencement par fonder un monastère ; puis, l'un des leurs, l'illustre architecte Benoît, traça les plans d'un important ensemble conçu sous la forme d'une église double ou plus exactement de deux églises superposées, l'une souterraine crypte et tombeau.
(L'église basse dite crypte était jadis accessible depuis la nef aujourd'hui disparue) (Le choeur juste au-dessus, pilier par pilier, et l'autre à vaste nef, susceptible de recevoir les foules importantes qui se déplaçaient pour honorer le Saint. En l'an 1096, le Pape Urbain II officia a l'un
des autels et le consacra. De destructions en restaurations elle finit par être presque entièrement reconstruite, mais sur des bases de siècle en siècle plus modestes. Les reliques d'Eutrope, perdues et, retrouvées, puis reperdues pendant les guerres de Religion, avaient été retrouvées, une seconde fois en 1843, le 19 mai ; mais, entre temps, l'édifice occupé par les Calvinistes avait a nouveau connu la dévastation et l'incendie. Réparé derechef, il n'était pourtant pas au terme de ses vicissitudes, puisqu'il devait, au début du XIXe siècle, être encore victime des hommes et du vandalisme - officiel cette fois-. En 1803, le Préfet de la Charente-Inférieure, pour éviter une réparation de quelques milliers de francs à un pilier, préféra donner l'ordre d'abattre la façade et toute la nef jusqu'au transept. Certaines économies sont, dit-on, des crimes. Celle-ci en est un, car cette déplorable décision, que n'excuse ni l'ignorance, ni l'habituelle pénurie des finances de l'état, priva la ville de Saintes d'une curiosité archéologique de tout premier ordre qui aurait largement contribué à sa renommée.
Quelques vestiges de murs et un contrefort qui butait
l'angle méridional de l'ancienne nef existent encore et
fixent ses limites. La rue touchait la façade et
obliquait devant elle. Des la
porte d'entrée, nous dit Ch. Dangibaud, on descendait
cinq marches - car le sol était beaucoup plus bas que
celui de la place actuelle - pour accéder a un
palier, après lequel de nouvelles marches permettaient
d'arriver au sol de la nef centrale séparée de ses bas-côtés
par des rangées de colonnes entre lesquelles d'autres
marches, correspondant aux cinq premières de l'entrée,
mettaient au niveau du palier le dallage des collatéraux. L'intérieur du vaisseau était donc formé d'un triple vestibule , le plus large, au centre, conduisant à l'église souterraine et les deux latéraux au chevet de l'église haute. L'ensemble avait, en quelque sorte, vu de la porte
d'entrée, l'aspect d'une piscine au sol incliné, entouré
de marches et de colonnes. Ce très
curieux spectacle ne devait manquer ni d'originalité, ni
de grandeur. La simple énumération de ces beautés disparues, suffit à les faire amèrement regretter.
L'église de Saint-Eutrope actuelle est formée
de l'ancien transept C'est
ainsi que l'abside à été allongée au cours du XVIe siècle,
vers l'orient.
L'ancien transept a formé les deux chapelles qui
encadrent l'entrée, y compris celle de gauche qui est
aujourd'hui surmontée du clocher gothique. La nef est
l'ancien choeur, le choeur, l'ancienne abside et l'abside
ogivale qui abrite aujourd'hui l'autel est une adjonction
faite sous Louis XI.
Sa flèche de pierre, qui se dresse à quatre-vingts mètres
de hauteur, est un peu moins élevée que celle de
Marennes. La façade actuelle, qu'il serait souhaitable de pouvoir qualifier de " sans caractère ", est un simple mur de clôture percé de trois portes avec, tout en haut, une vague arcature. Édifiée en 1830, elle est on ne peut plus banale, mais la nef qu'elle enclot est remarquable.
La décoration romane de cette nef (en fait le choeur de la basilique romane) est magnifique
Les sculptures sont d'une pureté, d'une netteté d'exécution qui touche à la perfection. Nulle part ailleurs en Saintonge, ou se
rencontrent fréquemment des motifs inspirés ou imités
de ceux de Saint-Eutrope,
L'atelier, qui a
travaillé à Saintes
animaux, personnages ; mais deux " motifs" se détachent de l'ensemble et doivent retenir spécialement l'attention. D'abord
certains médaillons ronds, couverts de " découpures
stellées " nets, précis, très décoratifs et
Ensuite le fameux " motif " d'origine
byzantine, dans lequel un volumineux oiseau, perché sur
le dos d'un quadrupède lui pique le cou de son bec, Ce sujet se retrouve plusieurs fois sur d'autres chapiteaux ou sur des bandeaux, mais la position des animaux change. Par
exemple, le quadrupède tient dans sa gueule une patte de
l'oiseau qui se défend en frappant du bec l'oeil de
son adversaire.
D'autres chapiteaux, d'autres scènes méritent aussi un
examen détaillé. Parmi eux, citons le fameux " Pèsement
des âmes " Le démon appuie (Voir plus loin le détail), avec un bâton, sur l'un des fléaux de la balance ; un damné se tient derrière lui, tandis qu'une âme de juste attend près
de l'ange qui préside a l'opération. La fête du Saint, le 30 Avril, était
l'occasion d'une cérémonie importante et fastueuse ou
l'on venait de fort loin. Le culte de Saint Eutrope (et de Sainte Eustelle) s'étendait bien au-delà des provinces voisines, jusque dans les pays étrangers. La vénération, qu'avait inspiré ces
deux noms associés dans la vie et dans la mort, A la fin de la guerre de Cent ans, époque ou la circulation sur les routes du pays, avait été rendue si difficile du fait de la rude réglementation imposée par les Anglais, les porteurs de billets de pèlerinage, pour Saint-Eutrope de Saintes, passaient avec facilité et voyaient les nombreuses barrières s'abaisser devant eux.
Cette renommée n'allait pas toutefois sans inconvénient.
Le nom d'Eutrope qui se prononçait U-trope, comme " il
eut", ou " j'avais eu ", A Compiègne, il existait, encore au siècle
dernier, une rue Saint-Accroupi, lequel Saint n'était
autre que notre martyr local. Mentionnons qu'en certains lieux Saint Eutrope était célébré sous le nom de Saint Eutrope le Méhaingre, c'est-a-dire le supplicié. Cette particularité fit que, dans quelques paroisses, on pria Saint Eutrope le Maigre, auquel, par opposition, on ajouta bientôt Saint Eutrope le Gras...
Le champ de leurs investigations est vaste, intéressant et varié. Presque inépuisable sont les constatations qu'ils peuvent faire, car en matière d'archéologie le dernier mot est loin d'avoir été prononcé. Une question a été et reste posée à la sagacité des connaisseurs ou à l'appréciation des érudits. L'église de Saint-Eutrope appartient-elle à l'école auvergnate ou à l'école poitevine ? Chaque opinion a ses partisans et ses zélés défenseurs. La disposition des collatéraux et la forme des voûtes inciteraient à répondre en faveur de l'Auvergne, mais de nombreux détails apportent des arguments à ceux qui penchent vers le Poitou. Mais le Poitou... N'ouvrons pas ici une controverse sans grand objet. Pourquoi ne pas déclarer en tenant compte plus judicieusement de nombreux éléments trop négligés et qui gagneraient à être mis en évidence _ ils le seront un jour _ que l'église Saint-Eutrope de Saintes appartient tout simplement à l'école saintongeaise et est l'oeuvre dans la plupart de ses détails, si non dans son plan, d'artistes du cru... Cet édifice a été inscrit sur la liste des Monuments Historiques en 1846. Fin du texte de Charles CONNOUË ________________________________________________ Les églises de la SAINTONGE (livre 1 épuisé) _________________________________________édition: R.DELAVAUD à SAINTES avec leur aimable permission
L'inscription "EVTROPIVS" serait du VII e siècle. En 735 Charles Martel reprend SAINTES 845 raids NORMANDS sur SAINTES En 877, le royaume d'Aquitaine se décompose en deux duchés, un duché de Gascogne (ancien duché de Vasconie) au sud de la Garonne et un duché d'Aquitaine (plus tard appelé Guyenne) qui avait pour capitale Bordeaux et se compos ait alors des fiefs de Gascogne, du comté d'Armagnac, du comté de Fezensac, du Périgord, du Poitou, du comté d'Angoulême, de la Saintonge et du comté de la Marche. ..... 1061 Le retour des aquitains: Bataille de Chef Boutonne Guy-Geoffroy comte de POITIERS est vaincu et Guy cède Saintes comme rançon. "L'an 1061 Geoffroi et Foulque faisaient la guerre au duc Geoffroy pour Saintes; s'avançant à la tête d'une grande armée, ils combattirent à Chef-Boutonne le jour de la Saint Benoît Celui-ci qui faisait aussi la guerre en Aquitaine, ou il avait rassemblé l'armée des poitevins; et des deux cotés on combattit avec ardeur; mais les hérauts et les porte-enseignes jetèrent leurs bannières et provoquèrent la fuite de l'armée poitevine". En 1061, Guy-Geoffroy-Guillaume VIII, duc d'Aquitaine occupe la Saintonge, mais Geoffroy et Foulques IV le Réchin ( frère de Geoffroy III le Barbu son cohéritier de leur oncle Geoffroy Martel) le battent à Chef-Boutonne et Foulques récupère la Saintonge, cependant pour peu de temps, car Guillaume la reprend l'année suivante et chasse l'armée de Foulques. "L'an1062 le duc Geoffroy assiégea la ville de Saintes. A près avoir planté ses tentes tout autour il fit des ravages par la famine et par le glaive jusqu'à la rédition des angevins et de tous les citoyens. De là avec de nombreux Vermandois , il s'en alla en Espagne et conquit la ville de Barbastro pour la chrétienté, après avoir massacré tous ceux qui s'y trouvaient."(Chronique de Saint Maixent) Il en aurait rapporté de "merveilleuses chanteuses mauresques" selon un auteur arabe. En 1062 le comte de Poitou, Guy-Geoffroy Guillaume remet la main sur SAINTES En 1064 Guy (Guillaume VIII) en expiation de ses ravages dans les territoires de ses voisins cède a l'abbé de la Chaise Dieu (Auvergne) un territoire a St GEMME pour y fonder une église .Dans la clause de donation il y a une clause pour se protéger de ses propres officiers ! 1065 Guy (Guillaume VIII) fait justice aux moines de l'abbaye de VENDÔME spoliés par un de ses intendants qui prenait les revenus des salines de St AGNAN. Il relève l'ancien couvent de Saint Eutrope à SAINTES. 1067 Le Seigneur de Chatelaillon Isembert donne toute l'île d'AIX a CLUNY pour y établir l'abbaye St Martin 1067 Première translation des reliques de St EUTROPE. L'évêque de Saintes ARNOUX ou ARNULFE dépossédé pour simonie . GODERAN évêque de Saintes Abbé de Maillerais dépendant de CLUNY (probablement nommé grâce à Guy Geoffroy). 1068 la cathédrale de Saintes brûle. L'évêque Bernard ancien prieur de Sablanceaux lance la reconstruction vers 1142 le chantier durera 1/2 siècle jusqu'en 1185. 1068 Fondation de l'abbaye St Vincent de Nieul sur l'Autise un des lieux ou serait née Aliénor Vers 1070 de nombreuses églises et Abbayes apparaissent le long des axes de pèlerinage : Plan en croix , voûtes en pierre ,tribunes , collatéraux ,chapelles rayonnantes ,transepts ..St Martin de TOURS , St MARTIAL de LIMOGES , St SERNIN de TOULOUSE (1070) , St JACQUES DE COMPOSTELLE (1078) ... La Crypte date de cette époque. Saintes devient incontournable sur la via TURONENSIS vers Compostelle. 9 nov. 1068 :mort d'Agnès de Bourgogne, à Saintes; mère de Guillaume VIII. Beaucoup d'abbayes ont bénéficié des largesses d'Agnès: L'abbaye St Florent de Saumur qui reçu un grand domaine près de Niort. L' abbaye de St Jean d'ANGELY , monastère préféré de Guillaume le gros qu'il s'agissait de ne pas faire regretter. L' abbaye aux dames de Saintes. L' abbaye du Ronceray. La reconstruction de l'abbaye de Charroux et de St Michel en l'Herm. St Hilaire de Poitiers commencée par Emma reine d'Angleterre et cousine de Guillaume le grand. La collégiale de St Nicolas dont les chanoines étaient chargés de prier pour leurs fondateurs et le premier mari d'Agnès. L'abbaye de Maillezais ou est enterré son premier mari. 1168, 1173-74, 1176, 1178-79, 1182-83, 1188 six révoltent nobiliaires en Aquitaine contre les nouvelles dispositions de Henri II. L'aristocratie de la Saintonge et de l'Aunis y prennent part notamment Geoffroy de RANCON , seigneur de Taillebourg En 1079 au concile de Bordeaux du 14 octobre, Boson évêque de SAINTES demande l'établissement de religieux à St-Eutrope, église qui était alors entre les mains du vicomte d'AULNAY, et ce dernier accepte. En 1081 le 11 janvier au concile de SAINTES, Hugues abbé de Cluny, obtient que Guy-Geoffroy donne l'établissement à l'ordre de Cluny. L'ordre bénédictin de Cluny dans le dernier tiers du XI e élève un magnifique monastère autour d'une très vaste église. Tout fut repris depuis les fondations en créant une grande crypte lumineuse grâce à ses nombreuses fenêtres. Du XI e au XII e siècles verra la construction menée par Benoît, maître d'oeuvre, d'un édifice grandiose puisque sa longueur atteignait 150 m de long à l'époque romane ! Au cours des travaux l'on découvre le tombeau de Léontinus, évêque de Bordeaux. Le 20 avril 1096 le pape Urbain II consacre l'autel du choeur et l'évêque de SAINTES , Ramnulfe, répéta la cérémonie pour l'église basse. Cette même année 1096 avait lieu le transfert grandiose de la capse contenant les restes de St Eutrope qui subsistent toujours. La reine Aliénor d'Aquitaine, fille du duc Guillaume X, fut au Moyen Âge parmi les personnages les plus influents de toute l'Europe. Après l'échec de son premier mariage avec le roi Louis VII de France, elle épousa en 1152 le duc de Normandie et comte d'Anjou, qui devint en 1154 roi d'Angleterre sous le nom d'Henri II Plantagenêt. 1154 à 1168 Pendant 15 ans paix relative en Saintonge ou les Seigneurs continuent de se quereller sans remarquer le changement de tutelle. 1168 ALIENOR lasse des infidélités de Henri II désigne Richard comme son successeur 1168 Henri II fait arrêter et emprisonner ALIENOR qui tentait de rentrer en AQUITAINE Aliènor échappe a une embuscade durant laquelle Patrice de Salisbury qui devait aider Aliénor à gouverner l'Aquitaine est tué. Guillaume le Maréchal entre en scène il est le neveu de Parice En entreprenant de le venger il se retrouve blessé et captif. Aliénor paiera une rançon pour le libérer.1168 Guillaume le Maréchal entre au service d ' Aliénor alors qu'elle s'installe en son duché dont Henri II lui a confié le gouvernement. Cela se mit en place après la naissance de Jean et qu' Henri eut fait de Rosemonde sa maîtresse. 1168 Richard Cœur de LION fils d'ALIENOR parvient en AQUITAINE et essaye de soulever les Seigneurs 1168 RICHARD vaincu se jette dans SAINTES .HENRI assiège Richard qui se se réfugie a Taillebourg 1169 Henri II impopulaire interdit a ses agents toute exaction envers l'abbaye de Saintes Il sacrifie son Sénéchal Raoul de Faye aux plaintes du prieur de St Georges .Son impopularité provient de ses efforts pour encadrer l'Aquitaine par des châteaux , des officiers fidèles et même des bandes de routiers 1169 'Henri II évince sans violence les Seigneurs et élève une Forteresse hors les murs a LA ROCHELLE Aliénor organise en 1170 des tournois et banquets en POITOU pour asseoir la popularité du jeune comte de POITIERS_RICHARD_NIORT à Pâques 1170 au cours de cette cérémonie toutes les confiscations faites par Henri II en Aquitaine, Marche et Angoumois furent levées_ à Poitiers Richard est proclamé en grande pompe par l'archevêque de Bordeaux et l'évêque de Poitiers Abbé de St Hilaire de Poitiers et il reçu la lance et l'étendard de duc d'Aquitaine. A Limoges Richard reçoit en la cathédrale St Étienne l'anneau de Ste Valérie et il pose la première pierre de l'église St Augustin à cette occasion. Richard Cœur de Lion devient comte de Poitiers et duc d'Aquitaine. Extraits de mon fichier histoire_______________________ Les sculptures de l'église haute ex un ancien diaporama qui ne fonctionne plus: 3 sujets dans la nef 3 sujets sur les restes de la croisée Vue depuis la tribune (Mots clés: pseudo fleur de lys, fleur de lys, signe du bélier, pomme de pin et rinceaux) Seulement 4 sculptures non florales dans la nef réservée aux moines 1_Léonins avec queue en position de maîtrise se terminant en pompon lancéolé orienté vers le ciel (Mots clés: léonins, queue, maîtrise) 2_Sirènes aux nattes torsadées maîtrisant leurs queues orientées vers le ciel. (Mot clé: sirène) 3_Léonins à têtes d'oiseaux, munies d'ailes qu'ils lissent. (Mots clés: ailes-lissage des, volatiles) En hauteur, dans la nef, voici quelques chapiteaux: ![]() ![]() ![]() 4ième sculpture historiée de la nef De leurs stales, les moines ne pouvaient pas voir la belle sirène, mais celles-ci, moins susceptibles de les troubler!!! Les restes de la croisée du transept montrent des sculptures extraordinaires dont Daniel dans la fosse aux lions plus une scènedite de jugement, mais voyez plutôt... Un ange présente une âme au jugement Le jugement avec un personnage tricheur, qui essaie de faire pencher de son côté le fléau de la balance et qui prétend être innocent. C'est un couple !!! (Voir mon essai sur la pesée des âmes avec le signe de la balance, pour tenter une meilleure explication que le traditionnel jugement.) Belle représentation du combat spirituel. Daniel dans la fosse aux lions (Mots clés: droite, gauche, combat spirituel.) Remarquez les orientations des visages et la position des mains: à gauche et à droite pour le contrôle de la marche vers le ciel. (Mot clé: jambes) Une scène que je n'ai pu iditenfier. ![]() Un des premiers descriptifs sur PERSÉE
|